Collection Jeunes Vieux. LAmour, Toujours LAmour (1/1)
Notre histoire commence lors de notre anniversaire.
Noëlle est née le même jour à la même heure dans la même clinique et cest pour cela que je mappelle Noël.
Nos mères sont des copines et je me suis toujours demandé si lune avait téléphoné à lautre le moment où elles se sont fait sauter par leur mari pour quils leur déversent du sperme au même moment dans leurs chattes.
Petit, cétait au bois de Vincennes que nous nous rencontrions.
Jadorais lui tirer les nattes jusquau moment où elle allait se plaindre à nos mères qui papotaient entre elles.
Bien sûr, depuis lâge de trois ans, nous étions dans la même classe en maternel.
Tout a continué en CP à lâge de six ans.
Nous avions dix ans et nous venions toujours jouer à la balançoire et tourner sur les chevaux de bois où il fallait attr des anneaux.
Nos mères étaient assises sur un banc et continuaient à papoter entre elles.
Alors que Noëlle poussait son landau, je suis venu prendre dans un sac mes soldats de plomb, je lai fait sans que nos mères me voient, tellement attentionnées à ce quelles se disaient.
Malgré mon âge, cest ce jour-là que japprends quil est très bon pour une femme mariée de se faire défoncer par le facteur pour lune et le fils des voisins pour lautre.
Jignorais comment on pouvait défoncer une femme.
Javais entendu à la télévision quun camion de quarante tonnes avait défoncé une maison, mais lorsque je les regardais, il métait difficile de voir un quarante tonnes les défoncer.
Jhésitais dans mon choix, car comme je lai dit, jétais trop petit pour comprendre la portée des mots prononcés.
- Sabine, pourquoi cocufies-tu ton mari ?
La réponse a fusé.
- Mon mari me baise mal.
Que « cocufier » voulait dire dans leur conversation !
Pourquoi ma mère parlait de baiser alors que dès quelle était avec mon père, ils sembrassaient ?
- Pour le mien, Gladys tout était parfait, mais lorsque jai vu le bâton de ce jeune garçon, je lai voulu tout de suite dans ma grotte.
Les adultes sont compliqués, jai un bâton dans notre jardin mais où y a-t-il une grotte où le ranger ?
La conversation dure pendant de nombreuses minutes arrivant à comprendre un mot sur dix.
Ma mère dun coup ma cherché et quand elle a vu que jétais derrière elle, la conversation est devenue plus conventionnelle.
La vie a duré comme cela jusquaux jours où jai eu dix-sept ans.
Depuis lâge de douze ans le bois de Vincennes nous emmerdait et javais lhabitude daller chez Noëlle regarder Dorothé.
Je venais davoir dix-sept ans donc, un mercredi je suis allé voir mon amie presque ma sur.
Sa mère ma dit que son père lavait emmenée pour une semaine de vacances de ski, ça sétait décidé au dernier moment et cest pour cela que je lignorais.
Jétais au courant que ses parents avaient divorcé quelques mois plus tôt.
Son père avait surpris sa mère se faisant sauter par le mari de la voisine qui était le père du fils qui se servait de son bâton dans sa grotte quelques années plus tôt.
Bien sûr, depuis mes quatorze ans, javais mis des images sur tous ces mots entendus derrière leur dos alors quelles parlaient sur leur banc.
La copine, trompait son mari et papa était cocu.
À 15 ans, jaurais pu éviter ce divorce en lui disant au mari lavoir vu sauter ma propre mère chez nous sur la table du salon !
Jétais rentré plus tôt, car les profs avaient déclenché une grève préventive au collège.
Javais préféré me taire, car ils ne faisaient peut-être pas de mal et plusieurs mots comme sodomise-moi, ou prends-moi à fond risquaient de faire du mal à mon propre père.
Ce matin, donc, lorsque je rentre dans la cuisine, la mère de Noëlle faisait la vaisselle revêtue seulement dune petite culotte rose les seins nus.
Ses seins, je les connaissais déjà, les ayant souvent vus lété.
Noëlle et sa mère bronzaient les seins nus sur des transats.
Ma copine avait des ufs sur le plat alors que sa mère avait de vrais obus.
Ce que javais tu, cest que depuis lâge de 14 ans, je savais avoir une verge et que depuis quelque temps quand je me remémorais ce que javais vu dans la journée, elle devenait toute dure.
Un soir, jignorais pourquoi, je lai tenu fortement et jai senti quen bougeant ma main rapidement, jarrivais à la faire cracher du liquide qui giclait dans tous les sens en me donnant de longs frissons dans le dos.
Là encore, je venais de découvrir la masturbation.
Cétait agréable et pendant les mois qui ont suivi, je le faisais chaque fois que jétais seul surtout dans mon lit.
Pour la première fois, la vision de cette femme nue dans sa cuisine ma fait relever la verge.
Je me suis approché et lorsquelle a senti la dureté de ma bite, elle sest retournée.
Je mattendais à prendre une baffe, mais elle a réagi différemment.
- Je suis contente que tu deviennes entreprenant, je vais bien moccuper de ton bâton dans ma petite chatte.
Avant de membrasser, premier baisé de puceau, nos bouches séparées, cest en faisant glisser son slip quelle ma fait descendre à létage inférieur.
- Ma grotte, est à toi, broute là.
Les mots incompréhensifs de ma jeunesse sont remontés à la surface.
Bâton et grotte prenait corps, ma langue ayant trouvé son clitoris.
Corps, car comme je lai dit, je méveillais à la sexualité, je connaissais tout sans avoir pratiqué.
- Sabine, je vais te baiser, je vais prendre ta grotte avec mon bâton.
- Avant, bouffe-moi la chatte, depuis mon divorce, chaque fois que je te vois, je mouille comme une salope.
Je découvrais la chatte rasée dune femme en même temps que je découvrais les mots crus quelle aimait employer.
Je mettais en phase comme dans un puzzle les mots et les gestes que je faisais pour la première fois.
- Cest ignoble de me faire baiser par le copain de ma fille, tu es si jeune, mais jai tellement envie de ta queue.
Oui bouffe-moi le clito.
Lorsque jai pris le premier jet durine dans ma figue malgré mes débuts de connaissance, sans pratique comme je lai dit, jai cru à de la pisse.
Pourtant la pisse, je connaissais, celle de Noëlle sa fille.
Ça peut paraître étrange surtout que comme je lai dit nous étions comme frère et sur.
Depuis le premier jour de notre rencontre jusquà ce jour, pas la moindre pensée lubrique cest normal avec une sur.
Cest lors de notre bizutage à lentrée du lycée que ceux de terminale nous ont fait pisser dans des gobelets.
On ma imposé de boire la pisse de Noëlle et elle, la mienne.
Le bizutage était interdit et nous savions malgré cela, que si nous refusions, cétait lassurance davoir une vie infernale dans ce lycée Prévert jusquau bac.
Le goût, plus fort état différent de ce goût un peu fade.
- Oui, bois ma cyprine, putain je gicle comme une fontaine.
Exact, elle sort ses mots dont certains me sont inconnus, mais ça me confirmait, alors que je reçois une nouvelle giclée, que ce quelle appelle cyprine, est tout autre chose.
- Tient essuie-toi et baise-moi.
Attends avant je vais te sucer.
Alors que je remonte prenant le torchon au passage, Sabine descendant à létage inférieur.
Ma bite est au meilleur de sa forme et rapidement, jai senti sa langue parcourir ma verge.
Sabine me suçait et même mon gland.
Je suis à deux doigts de lui donner le torchon pour quelle essuie mes jets de sperme quand elle remonte sentant certainement la pression qui monte en moi.
Un nouveau passage par nos bouches et nos langues et elle met son pied sur le plan de travail souvrant à ma pénétration.
Anh.
Je rentre un peu, Sabine me regarde les yeux embués de désir.
Anh.
Je rentre un peu plus.
Anh.
Je prends mon temps savourant mon dépucelage.
Anh, Anh.
Cest fait ma bite est entièrement entré, jai fini dêtre vierge surtout que je suis capricorne.
Q
And, cest fait mon bâton dans sa grotte la mère de ma meilleure amie ma fait homme.
Dans les jours qui ont suivi et tout lété je suis venu jouer avec sa grotte.
Nous le faisions à labri des regards de Noelle, de vrais amants ueux.
Hélas, tous amours surtout celles pour la simple baise ont une fin.
Sabine, sans travail a déménagé dans le nord-ouest de Paris après avoir trouvé un emploi à lautre bout doù nous habitions.
Noelle, elle, a rejoint son père à Bordeaux, me privant de sa personne alors que sa voix je lentends tous les jours, mais au téléphone pendant 5 ans.
- Noelle veux-tu prendre Noelle comme époux ?
- Oui, je le veux.
- Noël et toi ?
- Oui, je le veux.
Voilà, je viens de convoler en justes noces, jai souvent entendu dire quil fallait
Demander sa promise en mariage de façon la plus insolite possible.
Cest un genou à terre mon téléphone posé sur mon lit que je lai demandé en mariage.
Je lui avais envoyé un cadeau que je savais être reçu.
Je lui ai dit les mots quelle voulait entendre depuis quelques semaines que je lui ai dit.
- Noelle, veux-tu mépouser.
- Oui Noël, je passe à mon doigt cet anneau, gage de notre amour.
Aujourdhui, nous nous sommes bien sûr retrouvés pour convoler.
Cest à Bordeaux que la cérémonie a lieu.
Dans un coin de ma tête, je crains le moment ou je vais retrouver Sabine la mère de la mariée et lamante de son futur gendre.
Aucune crainte, cest en me demandant de danser avec elle, que nos corps ont effectué un nouveau rapprochement.
- Je vois que tu bandes toujours aussi facilement !
Aucun souci, tu sais lorientation que jai donnée à ma vie.
Rends ma fille heureuse et faite nous de beaux petits s avec Noelle.
On vous attend pour nos noces dans trois mois.
Lorientation et ses noces je la vois quand ma mère vient récupérer sa future femme.
Devant le père de Noelle, le mien ayant refusé de venir.
Sabine entame un slow avec Gladys.
Jen fais de même avec la mariée.
À un détour de piste, je lembrasse alors que Gladys et Solange en font de même.
Lorsque je porte ma femme afin de passer la chambre de lhôtel ou je suis descendu, notre chambre, la 103.
Les deux femmes ont la 101 et mon beau-père la 105.
Dans la 101, deux femmes qui se sont trouvées continuent à se découvrir dans lamour lesbien.
Dans la 105, mon beau-père s'astique la verge pour se soulager, hélas seul.
Et dans la 103.
Anh !
Anh !
Anh, Anh.
Je suis au fond de la grotte de ma femme, je viens de la dépuceler.
Un denier point, cest dans un petit village près de Limoges, à égale distance de Paris et Bordeaux, que nous faisons épanouir notre amour.
Nous sommes prof des écoles tous les deux et nous assurerons léducation de tous les s du village.
Il est hors de question, que mon fils que nous attendons pour Noël puisse entendre sa mère parler de ses amours ueuses.
Fidèle jusquà la fin de nos jours.
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